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(Fr3) Des Racines et des Ailes : Un jardin sur la Méditerranée (2011)

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(Fr3) Des Racines et des Ailes : Un jardin sur la Méditerranée (2011)

(Fr3) Des Racines et des Ailes : Un jardin sur la Méditerranée (2011)
TNT-Rip by Clo2 | French | 1h44min | 640 x 368 | 25.000 fps | Avi | MPEG-4 XviD @ 894 Kbps | MP3 @ 112 Kbps | 759 MB
Genre : Documentaire

Des Racines & des Ailes installe son plateau au Domaine du Rayol, "le Jardin des Méditerranées", situé au pied du massif des Maures, entre le Lavandou et Saint-Tropez. Ce jardin extraordinaire, unique en France, a été conçu par le célèbre paysagiste Gilles Clément : il est un véritable "jardin planétaire" riche de 1200 espèces de plantes et de fleurs. Le Domaine du Rayol est aujourd’hui la propriété du Conservatoire du littoral : un établissement qui se bat depuis sa création en 1975 pour sauvegarder la faune et la flore et lutter contre l’ urbanisation abusive.

Nous irons également dans les Gorges de l’Hérault à la découverte de trois sites spectaculaires : Saint-Guilhem-du-Désert, le lac de Salagou et le Cirque de Navacelles… Un patrimoine naturel hors du commun !

Quatre reportages :

Il est situé sur l’une des plus belles côtes de France, entre le Lavandou et Saint-Tropez, dans le Var. Perché sur la Corniche des Maures avec vue imprenable sur la mer Méditerranée. Juste en face, les îles du Levant, Port-Cros et Porquerolles…

C’est un jardin extraordinaire, car il permet de faire le tour de la terre : les dragonniers des Canaries côtoient en effet les liserons de Californie, les Mimosas d’Australie, les cactus “boules” du Mexique ou encore les palmiers "plumeaux" de Nouvelle-Zélande… Plus qu’un simple jardin, c’est donc une invitation au voyage ! Ce "jardin planétaire" dédié à la flore méditerranéenne est unique en France. Conçu par le célèbre paysagiste Gilles Clément, il offre à 1200 espèces de plantes et de fleurs un écrin protégé de vingt hectares, où elles peuvent croître et se développer en “mouvement”, c’est-à-dire avec très peu d’intervention de l’homme. Au-delà de sa beauté, le Jardin des Méditerranées est aussi porteur d’un message écologique et même philosophique.

Ici, le mélange des espèces est vécu comme une richesse et non comme une menace ! Extraordinaire aussi l’histoire de ce domaine qui a bien failli disparaître. Propriété de riches industriels jusque dans les années 70, il a été racheté par des promoteurs immobiliers qui voulaient y construire des lotissements. Mais grâce à la mobilisation d’ associations locales de défense, le domaine a été sauvé et racheté en 1989 par le Conservatoire du littoral. Le but ? Préserver ses richesses naturelles et en faire un territoire protégé, pour toujours. Aujourd’hui, ce lieu unique et méconnu offre aux visiteurs ses jolies villas art-déco et ses nombreux univers. Plus inattendu, le public peut aussi se mettre à l’eau afin de découvrir la richesse de la flore et de la faune sous-marine. Avec Stanislas, le jardinier en chef, Jean, le pépiniériste et Alain, le “jardinier de la mer” nous allons donc partir pour un merveilleux voyage entre terre et mer…

Leur métier : gardes du littoral ! Leur territoire : les espaces naturels des côtes varoises. Leur énergie : un amour viscéral pour la nature. Jour après jour, saison après saison, les gardes du littoral se battent pour conserver les richesses végétales, protéger la faune, la flore mais aussi faire face à la pression foncière. Depuis 1975, ils ont pour mission d’acquérir les espaces naturels remarquables du littoral pour transmettre intacts aux générations futures ces joyaux de la nature… Nous partons à la rencontre de trois de ces passionnés qui œuvrent au quotidien sur les côtes varoises, entre Hyères et la presqu’île de Saint-Tropez. Trois amoureux de la nature qui se dépensent sans compter pour la préservation des caps Taillat et Camarat, de la Corniche des Maures et des Salins d’Hyères. Raymond Viala est garde depuis sept ans sur la presqu’île de St Tropez. Il est en quelque sorte un « policier de l’environnement ». Avec ses falaises, ses criques, ses grottes et ses petites plages romantiques, ce site accueille plus de 350 000 visiteurs par an.

Chaque jour, Raymond arpente les sentiers pour faire de la prévention, de la pédagogie et, si besoin, de la répression contre ceux qui campent dans les zones protégées ou fument dans la pinède. Mais son champ d’action n’est pas seulement terrestre ! Ces gardes de l’environnement interviennent aussi sur mer pour déloger les plaisanciers qui mouillent sur l’herbier de Posidonie large du Cap Taillat. Cette plante est capitale : elle est en effet le poumon de la Méditerranée. Si elle venait à disparaître, la biodiversité serait irrémédiablement bouleversée…

Direction ensuite la Corniche des Maures, à la rencontre de Richard Barety, chargé de mission au Conservatoire du Littoral, dont l’un des symboles est la Maison Foncin, postée telle une vigie au sommet de la Corniche. En 1977, la fille de Pierre Foncin, éminent géographe de la fin du XIXème siècle, confie sa maison : c’est alors la première donation de l’histoire du Conservatoire ! C’est aussi le début d’une fabuleuse aventure : année après année, Richard et son équipe ont acquis un territoire de plus en plus vaste autour de la maison, en dépit de la pression foncière. Sans les efforts de ces « anges gardiens », la corniche aurait disparu sous une vague d’urbanisation. Aujourd’hui, le site est sauvé !

Autre étape sur le chemin du littoral : les Salins d’Hyères. Frédérique Gimond-Lanteri nous emmène à la découverte de ces lieux chargés d’histoire. Ici, jusque dans les années 90, des milliers de tonnes de sel étaient récoltés. Le Conservatoire a récupéré ce site après la fermeture de la compagnie.

Aujourd’hui, la richesse de cette zone n’est plus le sel, mais les oiseaux ! L’attention des gardes du littoral se porte principalement sur le prince des lieux, l’oiseau le plus emblématique, mais aussi le plus fragile et le plus capricieux : le majestueux flamant rose… Depuis la reprise en main du site par le Conservatoire, leur nombre a grimpé en flèche. Elise Cougnenc, une jeune guide naturaliste de la Ligue de Protection des Oiseaux parcourt deux fois par semaine les Salins pour compter à la jumelle les oiseaux présents dans ce coin préservé de Méditerranée…

L’histoire de la rose remonte à la nuit des temps. Selon les scientifiques, l’apparition des premiers rosiers remonte à près de 35 millions d’années. De nombreux écrits de l’Antiquité démontrent que, déjà, la reine des fleurs était appréciée des Egyptiens, des Grecs et des Romains.

"En France, la culture de la rose débute au Moyen-âge avec Rosa Gallica, la Rose de Provins, celle des apothicaires". Dans sa roseraie de Commer, près de Laval, François JOYAU a créé un sanctuaire de la Gallica, la rose la plus anciennement cultivée au monde. On y trouve 800 variétés ! "Au 18ème siècle, les Chinois vont révolutionner la culture de la rose, on la découvre alors rouge".

C’est à partir de cette époque que la rose va s’imposer dans les jardins. Elle devient aussi symbole de pouvoir dans les portraits officiels. Comme celui de Marie-Antoinette par Vigée le Brun.

Avec Joséphine de Beauharnais, la première épouse de Napoléon, la rose connaît son âge d’or. Elle va marquer la France jusqu’au début du XXème siècle.
C’est Joséphine qui donnera d’ailleurs la première son nom à une rose !

Aujourd’hui, les baptêmes sont nombreux. Les derniers en date ? Vanessa Paradis ou Andrée CHEDID.

Orphin, près de Rambouillet. C’est ici que la société Guerlain a installé son laboratoire. C’est le terrain de jeu de Thierry WASSER, le "nez" de la prestigieuse marque : "En fait, on ne crée pas, on écrit un parfum avant de le fabriquer. C’est un sacré clin d’œil pour la rose qui a inspiré tant de poètes et d’écrivains". Mignonne, allons voir si la rose… écrivait le poète Ronsard !

Pour mener à bien sa mission, Thierry WASSER se fournit au Maroc, en Bulgarie et surtout à Grasse, terre de parfum par excellence. Comme des senteurs de Méditerranée…



Dans le département de l’Hérault, les Gorges de l’Hérault et le village de Saint Guilhem le Désert ont récemment obtenu le label "Grand Site de France", récompensant ainsi la richesse et la valorisation du patrimoine naturel, ainsi que des trésors architecturaux, hérités du Moyen-âge…

Géraldine MALLET est historienne de l’art, au sein de l’Abbaye de Saint-Guilhem-le-Désert. Cette abbaye bénédictine a été fondée en 804 par Guillaume de Gellone, au fond d’une vallée et au bord de la rivière Hérault. Avec son architecture à la fois sobre et élégante, c’est une halte historique sur le chemin de St-Jacques de Compostelle. Le cloître de l’abbaye, en grande partie détruit et démonté après la révolution, est célèbre dans le monde entier : une partie se trouve en effet au Cloisters Museum de New York. Soigneusement restauré au XXème siècle, ce cloître vient d’être reconstitué en 3D…

Nous prendrons ensuite la direction du lac de Salagou, un lac artificiel entouré de roches rouges, les "ruffes", qui renferment depuis leur formation des empreintes de la préhistoire. Philippe MARTIN est écologue. Il explore ce lac depuis des années. Avec lui, nous découvrirons ce patrimoine naturel surprenant. Autre curiosité : le village de Celles, abandonné lorsque le barrage a été créé. Aujourd’hui, la commune projette de le réhabiliter.

Le Cirque de Navacelles est également un joyau de ces grands sites du département : cet amphithéâtre naturel, profond de 300m, a été creusé par l’eau durant des millions d’années. Il est environné de grottes que nous allons explorer en compagnie de Philippe GALAND, archéologue et spéléologue. Certaines ont été aménagées par les hommes comme la grotte des Camisards, récemment restaurée et qui fut un refuge durant le Moyen-âge.

La grotte de Vitalis, elle, a servi de cave d’affinage pour l’ancêtre du Roquefort, il y a plus d’un siècle. Un patrimoine méconnu, que les archéologues redécouvrent aujourd’hui.

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(Fr3) Des Racines et des Ailes : Un jardin sur la Méditerranée (2011)

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