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(Arte Reportage) 26 mars 2011 - 26. März 2011

Posted By: Morocco
(Arte Reportage) 26 mars 2011 - 26. März 2011

(Arte Reportage) 26 mars 2011 - 26. März 2011
HDTV-Rip | French, German | 43min | 720 x 404 | 25.000 fps | Mkv | AVC Main@L3.0 @ 799 Kbps | AAC @ 44.1 KHz x 2 | 281 MB
Genre : Documentaire/Dokumentar

Avec un reportage sur Ozersk, ville tenue secrète en raison de la production de plutonium durant la guerre froide.
Diese Woche zum Thema Kerntechnologie und geheim gehaltene Städt in der Ex-UDSSR.

Format : Matroska
File size : 281 MiB
Duration : 42mn 6s
Overall bit rate : 933 Kbps
Encoded date : UTC 2011-04-04 18:47:09
Writing application : mkvmerge v4.6.0 ('Still Crazy After All These Years') built on Mar 10 2011 02:50:32
Writing library : libebml v1.2.0 + libmatroska v1.1.0

Video
ID : 1
Format : AVC
Format/Info : Advanced Video Codec
Format profile : Main@L3.0
Format settings, CABAC : Yes
Format settings, ReFrames : 3 frames
Format settings, GOP : M=4, N=33
Muxing mode : Header stripping
Codec ID : V_MPEG4/ISO/AVC
Duration : 42mn 6s
Bit rate mode : Constant
Nominal bit rate : 799 Kbps
Width : 720 pixels
Height : 404 pixels
Display aspect ratio : 16:9
Frame rate : 25.000 fps
Standard : PAL
Color space : YUV
Chroma subsampling : 4:2:0
Bit depth : 8 bits
Scan type : Progressive
Bits/(Pixel*Frame) : 0.110

Audio #1
ID : 2
Format : AAC
Format/Info : Advanced Audio Codec
Format profile : LC
Codec ID : A_AAC
Duration : 42mn 6s
Channel(s) : 2 channels
Channel positions : Front: L R
Sampling rate : 44.1 KHz
Compression mode : Lossy
Language : French

Audio #2
ID : 3
Format : AAC
Format/Info : Advanced Audio Codec
Format profile : LC
Codec ID : A_AAC
Duration : 42mn 6s
Channel(s) : 2 channels
Channel positions : Front: L R
Sampling rate : 44.1 KHz
Compression mode : Lossy
Delay relative to video : 20ms
Language : German


Le Japon malade du nucléaire

Depuis quelques jours, dans un Japon à nouveau meurtri, les survivants d'Hiroshima, font entendre leur voix.
Les "Hibakushas" étaient quasiment les seuls anti-nucléaires du pays, mais aujourd'hui, leur parole entre en résonance avec les inquiétudes des Japonais dans leur ensemble.

Ce reportage, à la rencontre d'un Japon de plus en plus inquiet, débute au centre de traitement contre les radiations de cette ville, qui va recevoir les irradiés de Fukushima… Il se poursuit, à Kaminoseki, où la population se mobilise fortement contre un projet de centrale nucléaire, puis à Kobe, ville martyre du tremblement de terre de 95 et à Hamaoka, où se trouve une centrale nucléaire touchée par le dernier séisme et ses répliques, mais loin d’être détruite comme Fukushima. Cette centrale est la plus controversée du Japon : elle a été construite selon les spécialistes sur l'épicentre du futur « big one »…

Ce périple s'achève au plus près de Fukushima, toujours très instable. L’équipe d’ARTE Reportage tente de comprendre les questions que se posent aujourd'hui les Japonais en matière d'avenir nucléaire. Des Japonais qui, jusqu'à présent, entre pragmatisme et discipline, en avaient accepté la nécessité.

Russie : Ozersk, ville secrète nucléaire

Vingt ans après la dissolution de l'URSS, deux millions de Russes vivent encore au secret, comme à l'époque soviétique, dans 42 villes closes dites "ZATO". Des villes liées à l'industrie militaire ou à la production d'énergie nucléaire.

Reliquat de l'époque soviétique, les habitants, soumis à des règlements particuliers pour tous leurs déplacements, se voient pourtant comme des privilégiés, protégés du monde par de hautes grilles. Mais d'autres se battent contre un système qui maintient le secret autour d'installations nucléaires déficientes, au mépris des populations locales, et de l'environnement.

Ozersk et son complexe Makak forment un bel exemple. La région de Mayak, qui produisait tout le plutonium de la guerre froide, est aujourd'hui une poubelle nucléaire. Protégée par son statut de ZATO.

Le secret est tel qu'il a permis d'occulter, pendant près de 30 ans, le premier accident nucléaire au monde : l'explosion en 1957 d'une cuve de déchets, suite à une panne du circuit de refroidissement. Le nuage radioactif avait alors affecté près de 300 000 personnes, sur 23 000 km²… 22 villages avaient été évacués.

50 ans plus tard, les victimes et les "liquidateurs", obligés à nettoyer la région, attendent toujours de l'aide. D'autres sont irradiés jour après jour par les émanations des usines de retraitement d'uranium de Mayak. Et la population est sans défense.

Nadiejda y a fondé Planète Espoirs, pour défendre les droits à la liberté et à un environnement décent pour les gens de la région. Et elle défend les victimes des restrictions à la circulation comme celles de la radioactivité.

Temps de Pose : Libye : des sandales et des canons

Philip Poupin est né dans l’Ouest de la France en 1982. Il apprend la photographie en autodidacte. Lorsqu’il propose en 2004 à l’Institut de Géopolitique de réaliser un mémoire de maîtrise sur la guerre du Darfour en cours, on le croit fou. Cependant quelques mois plus tard, il revient avec son enquête et son premier reportage photographique sur les jeunes guerriers du Darfour. Reportage qui lui vaudra de recevoir le Grand Prix Paris Match du photoreportage étudiant. En 2005, il part pour la Cisjordanie et Gaza, réalise un photoreportage sur les «Mahadjirines» au Tchad pour le Figaro Magazine, un autre sur l’esclavage au Niger pour Paris Match et un documentaire TV « Darfour, l’enfer oublié » pour ARTE. En 2006, après avoir suivi en France le mouvement anti-CPE, il part pour la Cisjordanie puis l’Afghanistan où il travaille pour le New York Times et le magazine américain US News and World Report. L’année suivante, il franchit l’Atlantique voir ce qui constitue la réalité de l’Amazonie, son trafic de bois illégal et ses mines d’or. Perrine Poupin – février 2008

Distribué par l'agence de presse photographique Cosmos, Philip Poupin vit actuellement à Kaboul où il collabore avec l'ensemble des titres de la presse française et étrangère.

Japan: Atomkraft – vielleicht doch nicht…

Seit einigen Tagen melden sich in Japan die Überlebenden Hiroshimas wieder zu Wort: Die "Hibakushas" waren bis zum Atomunfall von Fukushima beinahe die einzigen Atomkraft-Gegner des Landes – nun finden sie wieder Gehör und neue Skeptiker schließen sich ihnen an.

Die Reportage begibt sich sozusagen auf eine « Radioaktive Spurensuche » und sie beginnt in Hiroshima, im Zentrum für Strahlenforschung dieser Stadt - der Strahlen, die die Menschen in und um Fukushima nun auch bedrohen. Sie berichtet über die Fischer von Kaminoseki, die sich seit 28 Jahren gegen den Bau eines Atomkraftwerkes am Ufer ihrer Fanggründe wehren. Wir besuchen Kobe, die Stadt, die im Jahr 1995 von einem schweren Erdbeben heimgesucht wurde und schließlich Hamaoka: Dort liegt ein Atomkraftwerk, das vom jüngsten Erdbeben ebenfalls erschüttert wurde, aber lange nicht so wie das Atomkraftwerk von Fukushima. Und doch ist dieses Atomkraftwerk das Umstrittenste in Japan. Es wurde laut Auskunft von Kennern der Materie genau im Epizentrum des nächsten zu erwartenden großen Erdbebens gebaut…

Unsere Reportage-Reise endet nahe Fukushima. Unsere Reporter versuchen zu verstehen, welche Fragen zur Atomkraft sich die Japaner jetzt neu stellen – nachdem sie jahrelang mit einer gut eingespielten Mischung aus Disziplin, Pragmatismus auf die Richtigkeit staatlicher Entscheidungen zur Energieversorgung vertraut hatten.

Russland: Der streng geheime erste GAU

20 Jahre nach dem Ende der UDSSR leben noch immer zwei Millionen Russen im Geheimen, in 42 streng abgeschirmten Städten aus Sowjetzeiten, sie alle sind verbunden mit dem Militärisch-Industriellen Komplex und manche produzieren bis heute Atomenergie. In einer von ihnen, in Osjorsk, kam es am 29. September 1957 zum ersten Unfall in der Geschichte der Kerntechnologie – 30 Jahre hielten sie diesen GAU geheim.

Stalin beschloss Ende 1945 auf dem Gebiet des heutigen Osjorsk eine Plutoniumfabrik errichten zu lassen, er wollte die Atombombe für die Sowjetunion, nachdem die USA mit ihren Bomben auf Hiroshima und Nagasaki ihre militärische Überlegenheit demonstriert hatten. Der erste Unfall in der Geschichte der Kerntechnologie war eine Explosion in dieser Plutoniumfabrik, genannt Majak, in einem Behälter für radioaktive Abfälle, nach einer Panne im Kühlkreislauf. Die radioaktive Wolke verstrahlte 300 000 Menschen auf 23 000 km² - 22 Städte und Dörfer wurden evakuiert. 50 Jahre danach warten die Opfer von damals und die „Liquidatoren“, die zur Reinigung abkommandierten Helfer, noch immer auf eine Entschädigung. Auch die Arbeiter in der Plutoniumfabrik, Tag für Tag den Strahlen in der laufenden Produktion ausgesetzt, haben bis heute keine Anerkennung des Staates für ihre Gesundheitsschäden erhalten.

In der Region wurde das gesamte Plutonium im Kalten Krieg produziert – heute ist diese Zone ein gewaltiges radioaktives Endlager, noch immer geschützt durch den Sonderstatus der Geheimen Militärstädte. Den Menschen ins Osjorsk bleibt bis heute, als Erbe der Sowjetunion, eine Art privilegierter Status, ein Leben hinter Gittern, jede Bewegung außerhalb der Stadt erfordert Anmeldung und Genehmigung. Nadjescha hat die Organisation „Planet Hoffnung“ gegründet. Sie und ihre Mitstreiter kämpfen gegen die Geheimhaltung der Folgen der Radioaktivität für die Menschen und die Natur.

Tiefenschärfe: Libyen: Mit Sandalen und Kanonen

Philip Poupin, 1982 im Westfrankreich geboren, hat sich das Fotografieren selber beigebracht. Als ihm das Institut de Géopolitique im Jahr 2004 vorschlägt, er solle für sie eine Reportage über den Krieg in Darfur fotografieren, da hält er die Verantwortlichen im ersten Moment für verrückt. Ein paar Monate später aber legt er ihnen seine erste Fotoreportage vor, über die jungen Krieger in Darfur. Dafür verleiht ihm die Illustrierte Paris Match den « Grand Prix Paris Match » für junge Fotografen. 2005 fotografiert er im Westjordanland und in Gaza, fährt für Figaro Magazine in den Tschad, um dort eine Reportage über die «Mahadjirines» zu forografieren, dann eine Reportage für Paris Match über die Sklaverei in Niger und schließlich einen Dokumentarfilm für ARTE « Darfour, l’enfer oublié ». Ab 2006 arbeitete er auch für amerikanische Medien wie die New York Times und US News and World Report. Im Jahr darauf dokumentiert er mit seinem Fotoapparat den illegalen Handel mit tropischem Holz und Gold in Amazonien. Zurzeit lebt Philip Poupin in Kabul – dort arbeitet er, vertreten von der Agentur Cosmos, für französische und ausländische Medien.

(Arte Reportage) 26 mars 2011 - 26. März 2011

(Arte Reportage) 26 mars 2011 - 26. März 2011

(Arte Reportage) 26 mars 2011 - 26. März 2011

(Arte Reportage) 26 mars 2011 - 26. März 2011

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