Carlos Lévy, "Histoire de la philosophie : Cicéron"
Publisher: CNED | 2010 | ISBN: N/A | French | PDF | 108 pages | 0.38 Mb
Publisher: CNED | 2010 | ISBN: N/A | French | PDF | 108 pages | 0.38 Mb
Agrégation externe de philosophie - Session 2010
Histoire de la philosophie …
Cicéron et la philosophie
Remarques préliminaires
1-Cicéron fut-il un philosophe ?
2-Le latin, première langue non-grecque de la philosophie
I) Cicéron et l'Académie
I. Cicéron témoin et acteur de l'histoire de l'Académie
I.1 La période de formation
I.2 La perception néo-académicienne de l'histoire de l'Académie
I.3 L'histoire de l'Académie selon Antiochus
I.4 Une fidélité problématique ?
I.4.1 Du De inuentione au De oratore
I.4.2 Le De re publica et le De legibus
I.4.3 La période postérieure à la guerre civile
II. Les Académiques
II.1 L'élaboration des Académiques
II.2 L'oeuvre en son temps
II.3 Le problème des sources, la construction de l'oeuvre
II.4 Contenu de chacune des deux versions :
11.4.1 Les Libri Academici
II.5 Place des Académiques dans la vie et l'oeuvre de Cicéron
II.5.1 Considérations générales
II.5.3 Un plan préétabli ?
II.5.4 Le désaccord des philosophes. Les Académiques comme annonce des oeuvres ultérieures.
II.6 L'Académie et son histoire
II.6.1 Les Académiques et l'histoire de l'Académie
II.6.2 L'Ancienne Académie
II.6.3 La Nouvelle Académie
II.6.4 Les innovations de Philon de Larissa
II.7 Le problème gnoséologique et ses prolongements philosophiques
II.7.1 La question de la représentation "cataleptique" ou "compréhensive"
II.7.2 La problématique de l'assentiment et de l'epochè
II.7.3 La réponse académicienne à l'argument de l'apraxie
II.7.4 Carnéade et la naissance du probabilisme
II.7.5 La gnoséologie de Philon de Larissa
III. Le De finibus
III.2 La doxographie du De finibus V
III.3 Le principe de l'oikeiôsis
III.4 La critique du souverain bien épicurien
III.5 Le souverain bien stoïcien et sa critique
III.6 Le paradoxe du livre V
IV Les Tusculanes
IV.1 La spécificité des Tusculanes
V.1. Continuité ou rupture par rapport aux traités précédents
V.2. La nature de l'âme
V.3.1. Le moi et ses passions
V.3.1.1. La construction cicéronienne du moi
V.3.2. Combattre les passions
V.4. Les Tusculanes comme terme de la réflexion sur l'éthique
VI. Le De natura deorum
VI.1 Présentation du dialogue
VI.2 L'épicurisme et sa critique
VI.3 Le stoïcisme et sa réfutation
VI.4 La position de Cicéron
VII. Le De divinatione
VII.1 Présentation du dialogue
VII.2 Une triple problématique
VIII. Le De fato
VIII.1 L'oeuvre en son temps
VIII.2 Dialogue et magistère
VIII.3 De la sympathie stoïcienne à la contagio cicéronienne
––––––
V. Le De officiis
V.1. L'articulation entre stoïcisme et Nouvelle Académie
V.2. le fondement panétien de l'humanitas
V.3. Diogène et Antipater
V.4. Les masques
––––––
Quelques éléments de conclusion
Remarques préliminaires
1-Cicéron fut-il un philosophe ?
2-Le latin, première langue non-grecque de la philosophie
I) Cicéron et l'Académie
I. Cicéron témoin et acteur de l'histoire de l'Académie
I.1 La période de formation
I.2 La perception néo-académicienne de l'histoire de l'Académie
I.3 L'histoire de l'Académie selon Antiochus
I.4 Une fidélité problématique ?
I.4.1 Du De inuentione au De oratore
I.4.2 Le De re publica et le De legibus
I.4.3 La période postérieure à la guerre civile
II. Les Académiques
II.1 L'élaboration des Académiques
II.2 L'oeuvre en son temps
II.3 Le problème des sources, la construction de l'oeuvre
II.4 Contenu de chacune des deux versions :
11.4.1 Les Libri Academici
II.5 Place des Académiques dans la vie et l'oeuvre de Cicéron
II.5.1 Considérations générales
II.5.3 Un plan préétabli ?
II.5.4 Le désaccord des philosophes. Les Académiques comme annonce des oeuvres ultérieures.
II.6 L'Académie et son histoire
II.6.1 Les Académiques et l'histoire de l'Académie
II.6.2 L'Ancienne Académie
II.6.3 La Nouvelle Académie
II.6.4 Les innovations de Philon de Larissa
II.7 Le problème gnoséologique et ses prolongements philosophiques
II.7.1 La question de la représentation "cataleptique" ou "compréhensive"
II.7.2 La problématique de l'assentiment et de l'epochè
II.7.3 La réponse académicienne à l'argument de l'apraxie
II.7.4 Carnéade et la naissance du probabilisme
II.7.5 La gnoséologie de Philon de Larissa
III. Le De finibus
III.2 La doxographie du De finibus V
III.3 Le principe de l'oikeiôsis
III.4 La critique du souverain bien épicurien
III.5 Le souverain bien stoïcien et sa critique
III.6 Le paradoxe du livre V
IV Les Tusculanes
IV.1 La spécificité des Tusculanes
V.1. Continuité ou rupture par rapport aux traités précédents
V.2. La nature de l'âme
V.3.1. Le moi et ses passions
V.3.1.1. La construction cicéronienne du moi
V.3.2. Combattre les passions
V.4. Les Tusculanes comme terme de la réflexion sur l'éthique
VI. Le De natura deorum
VI.1 Présentation du dialogue
VI.2 L'épicurisme et sa critique
VI.3 Le stoïcisme et sa réfutation
VI.4 La position de Cicéron
VII. Le De divinatione
VII.1 Présentation du dialogue
VII.2 Une triple problématique
VIII. Le De fato
VIII.1 L'oeuvre en son temps
VIII.2 Dialogue et magistère
VIII.3 De la sympathie stoïcienne à la contagio cicéronienne
––––––
V. Le De officiis
V.1. L'articulation entre stoïcisme et Nouvelle Académie
V.2. le fondement panétien de l'humanitas
V.3. Diogène et Antipater
V.4. Les masques
––––––
Quelques éléments de conclusion